Dans cet article, Laurence Chellali nous retranscrit une conférence tenue aux Rencontres Photographiques du Genevois en 2013. Elle y questionne les idées reçues omniprésentes quand on évoque la photographie et en particulier son rapport à la réalité : retoucher c’est tricher, la photographie est une preuve, une bonne photographie n’a pas besoin de retouche, etc. L’auteure nous explique alors avec beaucoup de patience, et par le biais de l’étude de l’intention du photographe, que « développer soi-même ses photographies [en laboratoire ou à travers un logiciel] est une acte hautement photographique et que c’est uniquement par ce biais qu’on devient le véritable auteur de sa photo« .
→ L’article complet sur le blog Photofolle de Laurence Chellali